Faits apparemment etranges, concernant l'attitude de certaines "autorités brésiliennes" vis a vis les investigations en cours sur la mysterieux incident mortel qui a frappé l' avion d'Air France la veille des elections européennes, qui devraient être expliqués :
- D'abord, certains officiels (même militaires) se depêchent d'emblée d'exclure d'avance l'hypohèse d'un attentat ou autre aggression, avant même la moindre encquête....
- Ensuite, ils présentent des soi-disant "débris" et quantités de "cérosène" (qui excuerait, selon eux, l'hypothèse d'explosion - ce qui n'est pas évident), qui s'avèrent .. tous FAUX, lorsque l' armée francaise les controle. !
- Ce qui rétarde d'autant la découverte de la région dans laquelle l'incident a eu lieu, pour commencer à chercher les "boites noires", des vrais debris, et/ou des survivants eventuels, avant qu'ils meurent. On dit même, qu'ils n'auraient pas parlé de l'archipelago des ilôts-rochers "Pierre et Paul", proche au lieu présumé du drame, (et on n'entend même pas parlé d'une grande base militaire stratégique pour le contrôle de l'aviation par l'armée brittanique et américaine, pas loin de là, dans un autre île au milieur de l' Atlantique).
- Etonnant aussi que, semble-t-il, les enqueteurs francais (les 1ers d'être directement concernés et interessés à trouver la vérité) seraient, dit-on, obligés de rester dans un lieu eloigné (Recife), empêchés de controler immédiatement les debris et/ou la plupart des corps des victimes dès qu'ils sont trouvés, et obligés d'attendre d'abord que les autorités bresiliennes les contrôlent (et "trient" ?) les premières, loin de là, ailleurs ! Bref, pour la plupart, la France ne verrait que des preuves materielles de .."second main" ?! ...
- Recemment, dès que l'investigation commence (sur les premiers débris réels trouvés, les "boites noires", etc, les bateaux francais arrivant sur place), soudain, les autorités brasiliennes semblent si pressées à ...terminer, qu'elles poussent à .. stopper l' enquête aussitôt !
Posant des délais courts, elles parlent d'abord du 19 juin, ensuite du 25 juin, et annoncent, tout de suite, des "évaluations" "chaque 2 jours" (!), ménacant de stopper l'investigation sous pretextes divers (pex. la méteo, etc).
De quoi auraient-elles pu avoir peur ?
Peut-être d'un part de responsabilité si l'on decrouvrait un attentat peu après une ménace enregistrée par Air France au Bresil ? Ou de quelque chose de plus important ?
Comp., pex. :
http://www.eurofora.net/forum/index.php?&topic=209.msg246#msg246http://www.boursorama.com/pratique/actu/detail_actu_monde.phtml?num=a30b2d0fc2a40cbe766899a1d5b1949b(etc).